Archives mensuelles : mai 2016

Nuit Debout, cauchemar de la République

Les « Nuit Debout » des néo-soixante-huitards

Depuis le 31 mars, toute la nuit, la place de la République est occupée par des contestataires du système. Ils ont donné à leur mouvement le nom de « Nuit Debout » et, dans une belle resucée soixante-huitarde, passent leur temps en « AG », ou assemblées générales, critiquant tout et n’offrant rien. On dit les participants sans chefs ni porte-parole, masse anonyme prenant ses décisions par consensus en levant les mains. Qu’en est-il en réalité ?

Nuit Debout, masse anonyme?

La mobilisation de Nuit Debout trouve sa genèse dans la présentation de la loi sur le travail, dite loi El Khomri, et d’une série de manifestations organisées à partir du 17 mars. Tout cela, comprend-on néanmoins, n’a rien de très réactif.

Le 17 février, était dévoilé le projet de loi sur le travail, porté par Myriam El Khomri. Le 23, des militants gauchistes se retrouvent à la bourse du travail à Paris où sont hébergés les syndicats d’employés. La rencontre reçoit un nom évocateur : « Leur faire peur ». Parmi
les personnes présentes, figure un certain François Ruffin. Journaliste de profession, il publie un journal gauchiste, « Fakir », et écrit dans « Le Monde Diplomatique ». Faut-il y voir un effet du hasard, le lendemain de cette réunion sort en salle un film satirique anti-patronat, « Merci Patron », réalisé par le même Ruffin. Bernard Arnault, principal actionnaire de LVMH, fait les frais de la satire.

À partir du 17 mars, des manifestations éclatent à l’appel des syndicats et des organisations militantes de gauche mobilisant plusieurs dizaines de milliers de personnes. Puis, à son summum, dans la soirée du 31 , l’occupation de la place de la République à Paris est décidée. C’est le début de Nuit Debout. Le phénomène fait tache d’huile dans plusieurs grandes villes de France et même à l’étranger.

Nuit Debout, les chefs d’orchestre en coulisse, Ruffin, Chaibi, Halimi, Lordon et les autres…

Un collectif dirige en coulisse qui s’est créé le 23 février. Outre Ruffin, y figure Leila Chaibi, militante déçue du Parti de Gauche et membre du collectif Jeudi Noir  (1). Plus significativement, en font aussi partie Serge Halimi et Frédéric Lordon. Le premier, bon sang ne saurait mentir, est l’un des fils de Gisèle Halimi, l’activiste féministe bien connue. Il est le directeur du Monde Diplomatique. Le second est un économiste, prof à l’EHESS (École des hautes études en sciences sociales). Lui aussi écrit dans le Monde Diplomatique. Tous ces gens se présentent comme des adeptes de la non-violence. N’empêche ! Ils ne peuvent l’ignorer, leurs manifestations attirent d’autres gauchistes, adeptes de plaies et de bosses eux.

A Paris, dans la nuit du 14 au 15 avril, les CRS sont obligés d’intervenir contre des groupes de casseurs qui visent plus particulièrement les agences bancaires.
Auprès de la préfecture de police, Nuit Debout s’engage à prendre les dispositions nécessaires pour éviter ces atteintes aux biens. Cela ne change rien et, de plus, une certaine ambiguïté plane quant à la sincérité des engagements des dirigeants occultes de Nuit Debout.

Nuit Debout des rêveurs et des casseurs… « Tout le monde déteste la police »

Certes, au cours des AG, la proximité des violences est parfois dénoncée. Mais, d’autres fois, elle est revendiquée. Certains estiment qu’elle « arrange bien le mouvement pour qu’on parle de lui ». Ils vont jusqu’à dire : « Il nous faut assumer ces heurts avec la police, c’est comme cela qu’on progresse dans la lutte. Il faut aussi faire peur » (2).

Au cours des défilés du 1er mai, gangrenés par cette dérive violente, on a entendu les manifestants hurler en chœur « Tout le monde déteste la police » et « Police dehors ! » Un peu comme si l’on cherchait à effacer le moment de grâce des embrassades entre les forces de l’ordre et la population de Janvier 2015.

Mais qui sont ces casseurs ?

Nuit Debout ambigu face à la violence des groupes violents

Des Black Blocs à l’ œuvre

L’AFP se fait l’écho d’une source de police (3). « Ils sont de deux types, dit une dépêche. Les groupes autonomes habillés en noir, les Black Blocs (…) et des groupes constitués de gamins qui descendent de la périphérie de Paris ou de Lyon… »

Sous nos yeux, on voit se mettre en branle un front formé de gauchistes violents et non-violents et de voyous issus des populations immigrées. Tous ont la fascination du « non-ordre », de la fin des hiérarchies. Beaucoup, à des degrés divers, ont l’obsession du chaos purificateur, comme nous l’avons déjà évoqué (4).

La guerre civile qui nous menace prend aussi racine dans cet univers. Même s’il n’est pas le seul générateur des appels à l’affrontement. Il n’est pas trop tard pour réagir, mais le temps presse !

Notes

  • 1) Jeudi Noir est un mouvement né en 2006 qui a occupé des immeubles avec une forte couverture médiatique pour dénoncer l’augmentation des loyers et de la bulle immobilière.
    (2) In « Le Figaro » des 16 et 17 avril 2016.
    (3) Dépêche du 29 avril 2016.
    (4) Lire « Sabotages de la SNCF »

Sadiq Khan, un maire musulman pour Londres

Sadiq Khan maire de Londres

Le 6 mai, Sadiq Khan, fils d’un chauffeur de bus pakistanais, en outre de confession musulmane, était élu maire de Londres. Soyons en sûrs, il aura une administration en accord avec le temps, fêtant le mariage « gay » et le régime bio. Mieux, sans doute par principe, mais aussi par calcul, il se dressera certainement en barrage efficace contre les revendications politico-religieuses de ces derniers.

Vote politique ou ethnique? Le poids de la démographie

Le problème est ailleurs. Nous sommes en effet bien obligés de voir que, comme chez nous, la poussée démographique d’une immigration massive peut peser de manière décisive sur le résultat des élections.

Certes, dans le Grand Londres, on ne compterait pas plus de 15% de musulmans, même si dans certains districts, comme Tower Hamlets et Newham, ils atteignent 46 et 41%. Parmi eux, beaucoup de Pakistanais et d’Africains, mais il faut ajouter d’autres minorités qui, le temps d’une élection, ont fait cause commune autour de Sadiq Khan. Les Noirs, avec les migrants des Caraïbes, sont plus de 15%, l’ensemble des Asiatiques, dont les Indiens, dépassent les 20%. Ajoutez les métis plus quelques autres groupes ethniques et on n’est pas loin de la moitié de la population.

Le jeu des mondialistes:
Zac Goldsmith contre Sadiq Khan,  un eurosceptique face à un européiste
Sadiq Khan et Zac Goldsmith

Goldsmith contre Khan pour la mairie de Londres, la plus grande capitale d’Europe

 Un candidat solide, face à Sadiq Khan, aurait pu dominer le handicap. Mais on n’a rien trouvé de mieux que de lui opposer Zac Goldsmith, un concurrent dépourvu de charisme, de plus un représentant de l’oligarchie financière, époux en seconde noce d’une Rothschild. Tout ce qu’il faut pour révulser les classes populaires de souche britannique et les pousser à voter pour le candidat travailliste, fût-il à leurs yeux un peu bronzé.

Le choix des deux principaux candidats apparaît tellement caricatural qu’on en vient à se demander s’il n’a pas été voulu. En effet, Goldsmith, comme son père, est un eurosceptique qui lorgne en faveur du Brexit dénoncé par la caste mondialiste. En revanche, Sadiq Khan pose à l’européiste et bien sûr à l’homme d’ouverture en faveur de l’immigration. Tout ce qui plaît à ces mêmes mondialistes éradicateurs des nations.

La question se pose : Goldsmith n’aurait-il pas été utilisé comme faire-valoir de Sadiq Khan ? Un peu comme autrefois on plaçait une jeune fille moins jolie à côté de celle que l’on voulait marier, pour rehausser la beauté de cette dernière. Comme si on voulait faire avaler une pilule aux Londoniens.

Il faut bien mesurer les conséquences de l’élection d’un Sadiq Khan à Londres ou d’un Ahmed Aboutaleb à la tête de Rotterdam en 2009. Certes, leurs politiques, pour les deux à gauche en l’occurrence, ne sont pas pires que celles de leurs camarades de parti. Mais leur élection habitue la population européenne à une représentation d’origine étrangère, et même musulmane, à la tête de nos pays.

Mémoire, culture et coutumes menacées…

Cela serait sans gravité si l’arrivée continue de migrants venus des pays musulmans ne risquait pas de dépasser un jour les 50% de la population.

Or, et c’est là un point que la plupart de nos responsables politiques refusent de voir, le vote des migrants, peu idéologique, est surtout ethnique. Ils tendent aussi à préférer un homme de leur sang, de leur croyance ou comme eux migrant. A ce jeu, dominés par le nombre, les « de souche » sont voués à disparaître des cercles dirigeants. Aux élections, les candidats se lanceront dans la surenchère afin de séduire les couches migrantes à forte composante musulmane. C’est alors notre mémoire, notre culture et nos coutumes qui seront peu à peu minées.

 

Qu’est-ce que nous prépare Clara Gaymard ?

Clara Gaymard, siège dans les conseils d’administration de quatre grandes sociétés

On ne cesse, dans les médias à grand tirage et dans le monde des affaires, de célébrer les succès de Clara Gaymard. Dernière réussite, elle a décroché quatre sièges dans les conseils d’administration de sociétés cotées en bourse : Veolia, Danone, LVMH et Bouygues.

On ne peut lui nier du courage, du talent et la volonté de réussir. On la sait aussi fille du professeur Jérôme Lejeune, ce généticien qui découvrit l’origine d’une maladie rare, le syndrome de Down et… s’opposa de toutes ses forces à la légalisation de l’avortement.

Enfin, on ne peut ignorer qu’épouse d’Hervé Gaymard, elle fut victime avec lui d’une chasse aux sorcières, en 2005. « Le Canard Enchaîné » avait révélé le couple occupant un appartement de 600 m2 aux frais de l’État. Certes, l’époux était alors ministre et il avait en outre déjà huit enfants. Mais, comme le firent remarquer certains sans honte, Clara et Hervé sont « cathos » pratiquants.

Clara Gaymard membre de la trilatérale

Son côté victime de la classe bien pensante nous la rendrait à priori sympathique. Mais voilà, il y a l’autre face. Clara Gaymard est membre de la Commission trilatérale, cette organisation qui, avec d’autres, cherche à laminer les nations au profit de la création d’un gouvernement mondial.

Clara Gaymard, cheville ouvrière de la prise de contrôle  Alsthom par General Electric …

Si elle a commencé sa carrière dans la haute administration française, elle a rejoint en septembre 2006 General Electric, prenant la direction du groupe pour la France puis pour l’Europe. À ce poste, comme nous l’avions révélé et comme toute la presse l’admet aujourd’hui, elle sera la cheville ouvrière de la prise de contrôle de la branche énergie de la société française Alsthom par l’américaine General Electric.

Ce que l’intérêt de General Electric expliquait, les intérêts d’Alsthom et de la France ne le justifiaient pas. C’est un acte de piraterie commis par l’étranger que Clara Gaymard a soutenu, participant à son organisation, aux dépens de notre pays.

En août 2015, cependant, elle promettait de créer 1000 emplois en France grâce à la vente de la branche énergie d’Alsthom à General Electric. En janvier 2016, contrairement aux engagements pris auprès du gouvernement français, on faisait le constat inverse : en France, 765 employés avaient été virés de l’ancienne succursale d’Alsthom.

Cela a valu une convocation à l’Élysée le 27 janvier dernier de Clara et de son patron, l’Américain Jeffrey Immelt. On a en a vu d’autres dans les milieux d’affaires et à la fin, c’est toujours l’argent qui l’emporte. Mais voilà, Clara et son époux ont des ambitions. Or avoir une réputation de menteuse et de liquidatrice d’emplois cela ne fait pas « très classe » dans un CV.

Clara Gaymard

Clara Gaymard: «  J’aime aider les gens à grandir « 

Alors, sans attendre, la Dame a démissionné de General Electric, annonçant son intention de s’occuper du fonds d’investissement Raise. Ce fonds s’est donné pour mission d’aider financièrement des PME prometteuses à se développer. « J’aime à aider les autres à grandir » (1), dit-elle la main sur le cœur.

Reste néanmoins quelques raisons de douter de la pureté des intentions des dirigeants de Raise. D’abord, son directeur, Gonzagues de Blignières, est ancien patron de la branche française de la Banque Barclays. Ensuite les sociétés partenaires de Raise sont parmi les plus grandes. Dont deux de celles dans lesquelles Clara s’est vue appelée au conseil d’administration : Danone et Bouygues.
L’avenir nous dira si Raise a choisi l’aide des PME ou la prise de contrôle des plus profitables sous couvert de générosité.

En attendant, on a compris Clara Gaymard sachant naviguer dans la direction du vent. Ainsi, quand elle était à General Electric, la « catho » pratiquante a signé avec la « communauté LGBT » (2) une charte d’engagement en faveur des homosexuels. Par ce biais, sous prétexte de lutter contre la discrimination, on favorise l’avance-ment des homosexuels. Tout semble indiqué qu’on la prépare à des très hautes fonctions mondialistes.

(1) In les Échos du 21 mars 2016.
(2) Ce sigle signifie « Gay, Lesbian, Bisexual and Transgenre Alliance » dans le jargon de cette mouvance.

L'Assurance chômage, l' Unédic

Unédic : L’état gruge les salariés

L’ Unédic déficitaire?

Myriam El Khomri, notre ministre du Travail, a suggéré de réduire l’indemnisation des chômeurs, invoquant le prétexte du déficit de 4,4 milliards d’euros des caisses de l’assurance chômage en 2015. À première vue, cette approche pourrait sembler équitable, dans la mesure où on ne peut pas augmenter les prélèvements obligatoires sur les salariés et les entreprises sans ralentir encore la machine économique et réduire le pouvoir d’achat des ménages. Il y a cependant un hic ! Plusieurs sources font remarquer que l’assurance chômage serait bénéficiaire si l’État ne puisait pas dans ses caisses pour servir sa politique.

« Le Monde » en a parlé, « Le Parisien » lui aussi. Selon l’étude publiée par un économiste, Bruno Coquet, l’ Unédic, l’assurance chômage, ne serait pas en déficit sans les prélèvements de l’État.

Les derniers chiffres disponibles, ceux de 2014, sont parlants : les cotisations ont rapporté 33,94 milliards d’euros à l’ Unédic, quand ses dépenses n’étaient que de 31,26 milliards d’euros. Soit un solde positif de 2,68 milliards d’euros. Qui dit mieux !

L'Assurance chômage, l' UnédicIl faut le savoir, l’ Unédic a été créée en 1958, en période de plein emploi. La structure engrangeait alors des recettes bien supérieures à ses besoins. L’État aurait pu réagir généreusement et abaisser le montant des cotisations. C’était mal connaître le mode de penser de ceux qui nous dirigent. Ils ont vu là une manne dont l’usage en ferait un complément de revenu pour les caisses de la République.

L’État détourne les recettes de l’ Unédic pour contribuer au budget de Pôle emploi…

Dans la comptabilité complexe de l’ Unédic, nos brillants énarques ont alors cherché ce qu’ils pourraient détourner pour payer des charges qui reviennent normalement à l’État dans les autres pays du monde. Parmi ces détournements, le paiement de 10% du budget de Pôle emploi. On sait pourtant ce service, très fonctionnarisé, d’une efficacité discutable en matière d’aide à la recherche d’emplois. Déjà hier les bureaux d’intérim, aujourd’hui les annonces publiées sur Internet, s’avèrent plus utiles pour faciliter le retour à l’emploi que l’agence de l’État.

Or, en 2014, comme nous l’avons dit notre année de référence, l’ Unédic a versé 3,19 milliards d’euros à Pôle emploi. C’est à dire un peu plus de 87% du déficit de 3,66 milliards d’euros. Sans cette participation au budget de Pôle emploi, l’ Unédic n’aurait affiché qu’un déficit de 470 millions.

Difficile de connaître tous les détails de ces détournements, légaux puisque permis par les lois que vote la caste des notables. Il faut savoir en outre l’ Unédic dirigée par des personnalités hautement compétentes en matière de détournements.

S’alternant quasiment d’un mandat à l’autre, ses présidents viennent du Médef, anciennement du Cnpf, et de la Cfdt, autrefois de la Cgt. Pour les naïfs que nous sommes, il est étonnant de voir ces gens, issus du patronat et des directions syndicales de salariés, s’entendant si bien pour soutirer l’argent des employés par le biais de cotisations dépassant les besoins de l’assurance. Quelques-uns de ces noms en disent long, comme ceux d’André Bergeron de la CGT, de Nicole Notat de la Cfdt, ou de Michel de Virville (qui a facilité le départ de Denis Gautier-Sauvagnac de l’Union des industries et métiers de la métallurgie, avec une prime d’un million et demi d’euros (1)).

Les régimes spéciaux d’indemnisation apparaissent comme une autre cause de la faillite de l’ Unédic, principalement celui des intermittents du spectacle (2). Chaque année, rapporte Bruno Coquet cité plus haut, ce régime coûte un milliard d’euros à la caisse. Avec celui des intérimaires, ces deux régimes présentent un solde négatif de plus de 3 milliards d’euros par an. On devrait pourtant faire compenser le régime des intermittents à l’État, puisqu’il a pris sa décision au nom de sa politique culturelle. Ou faire payer la note à une industrie, le cinéma, dont les bénéfices peuvent atteindre des sommets. Pas aux salariés ordinaires qui n’y sont pour rien.

En 2007 et 2008, l’assurance chômage était cependant encore excédentaire. Depuis 2009, avec la crise et l’afflux de chômeurs, le déficit n’a cessé de se creuser. Alors l’État, par la voix de Myriam El Khomri, veut réduire l’indemnisation des chômeurs. Ne serait-il pas plus juste d’affranchir l’ Unédic des charges supplémentaires qui lui sont infligées ?

Notes

(1) Gautier-Sauvagnac était soupçonné de détournement d’argent suite à la sortie d’importantes sommes en liquide du compte bancaire de l’Union des industries et métiers de la métallurgie, un syndicat patronal. Gautier-Sauvagnac a été forcé au départ mais avec la prime susmentionnée.
(2) Le statut d’intermittents du spectacle a été créé en 1946, à une époque à laquelle le cinéma peinait à trouver des ouvriers pour aménager ses décors. En effet, électriciens, menuisiers etc… préféraient un emploi fixe plutôt que des recrutements ponctuels qui les laissaient longtemps sans travail. D’aménagement en aménagement, le statut a été étendu à tous les intermittents, y compris aux acteurs, avec les conséquences que nous connaissons.