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À quand une nouvelle loi Rothschild ?

Qu’est ce que la loi Rothschild et quel est son impact sur la situation économique française ?

Pompidou et Macron, deux Présidents qui viennent de la banque Rothschild

Georges Pompidou est entré en 1954 à la Banque Rothschild et en est ressorti directeur général en 1958. D’abord membre du Conseil constitutionnel, il deviendra Premier ministre du général De Gaulle, en 1962, puis sera élu Président de la République en 1969 avec 58,21% des suffrages exprimés.

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Emmanuel Macron

Cet itinéraire n’est pas sans nous rappeler celui d’un certain Emmanuel Macron, d’abord élevé au sein de la Commission Attali, sous le Président Nicolas Sarkozy, puis devenu ministre d’État avant de se faire élire lui aussi haut la main par les Français.

La loi n° 73-7 du 3 janvier 1973 ou loi Rotschild

Un an avant de mourir, avec l’aide de son ministre des Finances Valéry Giscard d’Estaing, Pompidou fit passer une législation lourde de conséquences pour les Français : la loi n° 73-7 du 3 janvier 1973. Consacrée à la redéfinition du statut de la Banque de France, que cette loi fût baptisée « loi Rothschild » n’est pas sans raison.

La loi Rothschild interdit à l’État d’emprunter à la Banque de France

Par  l’effet de l’article 25, elle stipule que « le Trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la Banque de France ». Ce jargon pour dire que contrairement à son habitude jusqu’en 1973, l’État français ne peut plus emprunter de l’argent à taux zéro, ou à peine plus, à sa banque centrale. Dorénavant, pour financer ses déficits, il devra s’adresser aux banques privées et payer un intérêt plus que confortable.

Brusquement, Pompidou et Giscard transformaient ainsi les emprunts de l’État français en un lucratif business pour les Banques privées. Selon les analyses, la dette publique accumulée aujourd’hui par la France correspond au montant de l’intérêt. En d’autres termes, à taux zéro, notre dette serait quasiment nulle.

Maastricht: la BCE et les banques centrales des États membres de l’UE n’ont pas le droit d’accorder des prêts ou des crédits aux États

Prouvant bien le caractère concerté de ce passage à un emprunt forcé de l’État auprès des banques privées, le traité de Maastricht, dans son article 104, puis celui de Lisbonne, à l’article 123, réitèrent le principe. Ils interdisent « à la banque centrale européenne et aux banques centrales des États d’accorder des découverts ou tout autre type de crédit aux institutions » étatiques.  Ce qui passait aux yeux des Français informés pour une lubie hexagonale s’est depuis révélé une tendance voulue par des décideurs occultes… et mondialistes. Une obligation pour tous les pays de l’Union européenne.

Dans la loi de 1973 ou loi Rothschild, il n’avait fallu qu’une courte phrase pour déposséder notre État d’un droit souverain. Une phrase dont la pleine compréhension n’apparaissait pas forcément au premier regard du citoyen ordinaire.

Avec Macron de nouvelles «  lois Rothschild  » en perspective?

Les mêmes causes engendrant les mêmes effets, nous observons l’arrivée de Macron à l’Élysée avec la plus grande défiance. Des lois, il va beaucoup nous en pondre, puisque l’habitude de séparer les pouvoirs exécutif et législatif s’est perdue sous De Gaulle. Il en tirera argument pour dire qu’il fait quelque chose, le brave homme ! Beaucoup de ces lois seront cependant inutiles. Quelques-unes, en une ligne nébuleuse, pourront engendrer des changements radicaux, des catastrophes irrémédiables. Bien sûr allant toujours dans la même direction : celle inspirée par les banques d’affaires et l’idéologie mondialiste.

Dorénavant, ceux qui en ont le temps et la compétence devront consacrer du temps au décryptage des nouvelles législations votées par notre Parlement. C’est un acte de résistance. Parce qu’à n’importe quel moment peuvent surgir de nouvelles lois Rothschild. L’arrivée de Macron au pouvoir en est l’augure.

Sadiq Khan, un maire musulman pour Londres

Sadiq Khan maire de Londres

Le 6 mai, Sadiq Khan, fils d’un chauffeur de bus pakistanais, en outre de confession musulmane, était élu maire de Londres. Soyons en sûrs, il aura une administration en accord avec le temps, fêtant le mariage « gay » et le régime bio. Mieux, sans doute par principe, mais aussi par calcul, il se dressera certainement en barrage efficace contre les revendications politico-religieuses de ces derniers.

Vote politique ou ethnique? Le poids de la démographie

Le problème est ailleurs. Nous sommes en effet bien obligés de voir que, comme chez nous, la poussée démographique d’une immigration massive peut peser de manière décisive sur le résultat des élections.

Certes, dans le Grand Londres, on ne compterait pas plus de 15% de musulmans, même si dans certains districts, comme Tower Hamlets et Newham, ils atteignent 46 et 41%. Parmi eux, beaucoup de Pakistanais et d’Africains, mais il faut ajouter d’autres minorités qui, le temps d’une élection, ont fait cause commune autour de Sadiq Khan. Les Noirs, avec les migrants des Caraïbes, sont plus de 15%, l’ensemble des Asiatiques, dont les Indiens, dépassent les 20%. Ajoutez les métis plus quelques autres groupes ethniques et on n’est pas loin de la moitié de la population.

Le jeu des mondialistes:
Zac Goldsmith contre Sadiq Khan,  un eurosceptique face à un européiste
Sadiq Khan et Zac Goldsmith

Goldsmith contre Khan pour la mairie de Londres, la plus grande capitale d’Europe

 Un candidat solide, face à Sadiq Khan, aurait pu dominer le handicap. Mais on n’a rien trouvé de mieux que de lui opposer Zac Goldsmith, un concurrent dépourvu de charisme, de plus un représentant de l’oligarchie financière, époux en seconde noce d’une Rothschild. Tout ce qu’il faut pour révulser les classes populaires de souche britannique et les pousser à voter pour le candidat travailliste, fût-il à leurs yeux un peu bronzé.

Le choix des deux principaux candidats apparaît tellement caricatural qu’on en vient à se demander s’il n’a pas été voulu. En effet, Goldsmith, comme son père, est un eurosceptique qui lorgne en faveur du Brexit dénoncé par la caste mondialiste. En revanche, Sadiq Khan pose à l’européiste et bien sûr à l’homme d’ouverture en faveur de l’immigration. Tout ce qui plaît à ces mêmes mondialistes éradicateurs des nations.

La question se pose : Goldsmith n’aurait-il pas été utilisé comme faire-valoir de Sadiq Khan ? Un peu comme autrefois on plaçait une jeune fille moins jolie à côté de celle que l’on voulait marier, pour rehausser la beauté de cette dernière. Comme si on voulait faire avaler une pilule aux Londoniens.

Il faut bien mesurer les conséquences de l’élection d’un Sadiq Khan à Londres ou d’un Ahmed Aboutaleb à la tête de Rotterdam en 2009. Certes, leurs politiques, pour les deux à gauche en l’occurrence, ne sont pas pires que celles de leurs camarades de parti. Mais leur élection habitue la population européenne à une représentation d’origine étrangère, et même musulmane, à la tête de nos pays.

Mémoire, culture et coutumes menacées…

Cela serait sans gravité si l’arrivée continue de migrants venus des pays musulmans ne risquait pas de dépasser un jour les 50% de la population.

Or, et c’est là un point que la plupart de nos responsables politiques refusent de voir, le vote des migrants, peu idéologique, est surtout ethnique. Ils tendent aussi à préférer un homme de leur sang, de leur croyance ou comme eux migrant. A ce jeu, dominés par le nombre, les « de souche » sont voués à disparaître des cercles dirigeants. Aux élections, les candidats se lanceront dans la surenchère afin de séduire les couches migrantes à forte composante musulmane. C’est alors notre mémoire, notre culture et nos coutumes qui seront peu à peu minées.