Qu’est-ce que nous prépare Clara Gaymard ?

Clara Gaymard, siège dans les conseils d’administration de quatre grandes sociétés

On ne cesse, dans les médias à grand tirage et dans le monde des affaires, de célébrer les succès de Clara Gaymard. Dernière réussite, elle a décroché quatre sièges dans les conseils d’administration de sociétés cotées en bourse : Veolia, Danone, LVMH et Bouygues.

On ne peut lui nier du courage, du talent et la volonté de réussir. On la sait aussi fille du professeur Jérôme Lejeune, ce généticien qui découvrit l’origine d’une maladie rare, le syndrome de Down et… s’opposa de toutes ses forces à la légalisation de l’avortement.

Enfin, on ne peut ignorer qu’épouse d’Hervé Gaymard, elle fut victime avec lui d’une chasse aux sorcières, en 2005. « Le Canard Enchaîné » avait révélé le couple occupant un appartement de 600 m2 aux frais de l’État. Certes, l’époux était alors ministre et il avait en outre déjà huit enfants. Mais, comme le firent remarquer certains sans honte, Clara et Hervé sont « cathos » pratiquants.

Clara Gaymard membre de la trilatérale

Son côté victime de la classe bien pensante nous la rendrait à priori sympathique. Mais voilà, il y a l’autre face. Clara Gaymard est membre de la Commission trilatérale, cette organisation qui, avec d’autres, cherche à laminer les nations au profit de la création d’un gouvernement mondial.

Clara Gaymard, cheville ouvrière de la prise de contrôle  Alsthom par General Electric …

Si elle a commencé sa carrière dans la haute administration française, elle a rejoint en septembre 2006 General Electric, prenant la direction du groupe pour la France puis pour l’Europe. À ce poste, comme nous l’avions révélé et comme toute la presse l’admet aujourd’hui, elle sera la cheville ouvrière de la prise de contrôle de la branche énergie de la société française Alsthom par l’américaine General Electric.

Ce que l’intérêt de General Electric expliquait, les intérêts d’Alsthom et de la France ne le justifiaient pas. C’est un acte de piraterie commis par l’étranger que Clara Gaymard a soutenu, participant à son organisation, aux dépens de notre pays.

En août 2015, cependant, elle promettait de créer 1000 emplois en France grâce à la vente de la branche énergie d’Alsthom à General Electric. En janvier 2016, contrairement aux engagements pris auprès du gouvernement français, on faisait le constat inverse : en France, 765 employés avaient été virés de l’ancienne succursale d’Alsthom.

Cela a valu une convocation à l’Élysée le 27 janvier dernier de Clara et de son patron, l’Américain Jeffrey Immelt. On a en a vu d’autres dans les milieux d’affaires et à la fin, c’est toujours l’argent qui l’emporte. Mais voilà, Clara et son époux ont des ambitions. Or avoir une réputation de menteuse et de liquidatrice d’emplois cela ne fait pas « très classe » dans un CV.

Clara Gaymard

Clara Gaymard: «  J’aime aider les gens à grandir « 

Alors, sans attendre, la Dame a démissionné de General Electric, annonçant son intention de s’occuper du fonds d’investissement Raise. Ce fonds s’est donné pour mission d’aider financièrement des PME prometteuses à se développer. « J’aime à aider les autres à grandir » (1), dit-elle la main sur le cœur.

Reste néanmoins quelques raisons de douter de la pureté des intentions des dirigeants de Raise. D’abord, son directeur, Gonzagues de Blignières, est ancien patron de la branche française de la Banque Barclays. Ensuite les sociétés partenaires de Raise sont parmi les plus grandes. Dont deux de celles dans lesquelles Clara s’est vue appelée au conseil d’administration : Danone et Bouygues.
L’avenir nous dira si Raise a choisi l’aide des PME ou la prise de contrôle des plus profitables sous couvert de générosité.

En attendant, on a compris Clara Gaymard sachant naviguer dans la direction du vent. Ainsi, quand elle était à General Electric, la « catho » pratiquante a signé avec la « communauté LGBT » (2) une charte d’engagement en faveur des homosexuels. Par ce biais, sous prétexte de lutter contre la discrimination, on favorise l’avance-ment des homosexuels. Tout semble indiqué qu’on la prépare à des très hautes fonctions mondialistes.

(1) In les Échos du 21 mars 2016.
(2) Ce sigle signifie « Gay, Lesbian, Bisexual and Transgenre Alliance » dans le jargon de cette mouvance.

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